Hier, en réponse à la carte de Carnets Paresseux, répondant lui-même à Nervures et entailles, j’écrivais « Après la pluie, le beau temps »
Il est bien connu que les jours se suivent et ne se ressemblent pas…voici ma carte d’aujourd’hui.
Le beau temps a grise mine
Était-ce une trêve,
Le rideau, un instant déchiré,
De ce hier, enchanté.
Était-ce un rêve,
Reprennent en choeur les oiseaux.
Ce jourd’hui.
Interminable litanie,
S’apprêtent les parapluies,
Qui de s’ébrouer,
N’ont pas terminé.
Sur ce ciel de misère,
Ai ouvert,
A nouveau
Maussades, mes volets.
Du côté de Bordeaux
En ce jeudi
25 janvier 2018
PS: Allez lire, la carte postale, en forme de Poème étoilé,
« Article 1 : Pour le plaisir du partage et de la lutte contre la grisaille.
Article 2 : Parce-qu’une racine de soleil c’est tenace. CF plus bas.
Article 3 : Parce qu’une étoile à cinq branches, ça laisse pousser des feuilles.
Article 4 : Pour que la poésie en ressorte lumineuse.
Article 5 : C’est comme vous voudrez »
la suite, avec sa participation à l‘Agenda Ironique de janvier 2018, chez Jobougon en un clic